L'Art : Piero della Francesca Vers 1415-1492 peintre el mathématicien
Fils d’un cordonnier, il s’est probablement formé à Florence où il devient, en 1439. l’aide du peintre Domenico Veneziano. Il mène ensuite la vie traditionnelle de beaucoup d’artistes de l’époque, voyageant entre des villes dont les princes ou les dirigeants sont volontiers mécènes : Ferrare, Rimini, Urbino, Venise. Rome – à l’exception de Florence, où il ne retourne jamais. On connaît ses déplacements par les factures des couvents et des églises qui l’emploient, ce qui permet d’ailleurs de comprendre qu’il fut apprécié très tôt. Cette réputation ne lit que croître, et, deux ans après sa mort, un de ses élèves l’appelle « le monarque des peintres ».
La Renaissance commence à Florence au début du xv siècle, et un des événements importants de cette Renaissance est l’introduction en peinture de la perspective géométrique. Piero, expert en calculs et en géométrie, applique de façon systématique cette perspective à sa peinture. Il écrit des ouvrages sur la composition des tableaux, la perspective et même l’arithmétique. Ces deux ouvrages en latin, De prospectiva pingendi et De quinque corporibus regularibus (« De la perspective en peinture » et « De cinq corps réguliers »). Furent admirés et utilisés pendani longtemps par de nombreux artistes.
Mais surtout, Piero joue de cette profondeur pour créer des effets majestueux : dans La Flagellation du Christ (vers 1455), le carrelage et le plafond à caissons creusent l’espace du patio, au fond duquel le Christ, attaché à une colonne, est flagellé; trois personnages au premier plan, qui n’ont rien à voir avec l’épisode religieux, donnent une sensation de présence saisissante : ils font le lien entre l’espace du tableau et le nôtre.
De 1452 à 1459 il décore à fresque l’église San Francesco d’Arezzo et peint le cycle de la « Légende de la vraie Croix », dans lequel il transforme une légende médiévale en un cycle baigné d’intensité et de ferveurs religieuses. A partir des années 1 460- 1470. Pif.ro df.lla Francesca s’intéresse de plus en plus à la peinture flamande. Il est fasciné par la capacité de ces peintres à suggérer la vie, comme il le montre dans la Madone de Sinigallia. Peinte vers 1470-1478, où la lumière unifie l’espace et colore l’atmosphère d’un ton doré.
Toute l’œuvre de Piero della Francesca traduit l’équilibre des formes et la géométrie des volumes, grâce à une construction mathématique rigoureuse et à une utilisation nouvelle de la lumière, qui font entrer l’espace dans la surface du tableau. Mais ce peintre mathématicien fut aussi un poète des formes. Pour cela, son influence fut considérable
La Renaissance commence à Florence au début du xv siècle, et un des événements importants de cette Renaissance est l’introduction en peinture de la perspective géométrique. Piero, expert en calculs et en géométrie, applique de façon systématique cette perspective à sa peinture. Il écrit des ouvrages sur la composition des tableaux, la perspective et même l’arithmétique. Ces deux ouvrages en latin, De prospectiva pingendi et De quinque corporibus regularibus (« De la perspective en peinture » et « De cinq corps réguliers »). Furent admirés et utilisés pendani longtemps par de nombreux artistes.
Mais surtout, Piero joue de cette profondeur pour créer des effets majestueux : dans La Flagellation du Christ (vers 1455), le carrelage et le plafond à caissons creusent l’espace du patio, au fond duquel le Christ, attaché à une colonne, est flagellé; trois personnages au premier plan, qui n’ont rien à voir avec l’épisode religieux, donnent une sensation de présence saisissante : ils font le lien entre l’espace du tableau et le nôtre.
De 1452 à 1459 il décore à fresque l’église San Francesco d’Arezzo et peint le cycle de la « Légende de la vraie Croix », dans lequel il transforme une légende médiévale en un cycle baigné d’intensité et de ferveurs religieuses. A partir des années 1 460- 1470. Pif.ro df.lla Francesca s’intéresse de plus en plus à la peinture flamande. Il est fasciné par la capacité de ces peintres à suggérer la vie, comme il le montre dans la Madone de Sinigallia. Peinte vers 1470-1478, où la lumière unifie l’espace et colore l’atmosphère d’un ton doré.
Toute l’œuvre de Piero della Francesca traduit l’équilibre des formes et la géométrie des volumes, grâce à une construction mathématique rigoureuse et à une utilisation nouvelle de la lumière, qui font entrer l’espace dans la surface du tableau. Mais ce peintre mathématicien fut aussi un poète des formes. Pour cela, son influence fut considérable
Vidéo : L’Art : Piero della Francesca Vers 1415-1492 peintre el mathématicien
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